Ferrari F8 Tributo
Rédigé le 11/26/2024

Ferrari F8 Tributo

La Ferrari F8 Tributo, dévoilée lors du Salon de l'automobile de Genève en 2019, est une véritable ode à la puissance et au design italien. Ce modèle remplace la 488 GTB dans la gamme Ferrari tout en rendant hommage à l’héritage du moteur V8. Avec ses 720 chevaux et ses performances saisissantes, elle représente une fusion parfaite entre tradition et modernité. 

Un hommage au V8 Ferrari

La F8 Tributo tire son nom de son cœur mécanique : le moteur V8 biturbo, l'autre ligné historique de la gamme Ferrari après l'iconique V12 atmosphérique. Ce chef-d'œuvre d’ingénierie délivre une puissance époustouflante. Les ingénieurs de Ferrari ont amélioré le système de gestion thermique et réduit les pertes énergétiques, permettant une réponse ultra-rapide et des performances de pointe. La F8 Tributo abat ainsi le 0 à 100 km/h en seulement 2,9 secondes et atteint une vitesse de pointe de 340 km/h. Ce moteur est une véritable célébration du savoir-faire Ferrari en matière de conception mécanique. Côté design, cette Ferrari est un mélange habile de références historiques et de modernité. Son S-Duct avant (inspiré de la Formule 1) améliore l’appui aérodynamique de 15 % par rapport à la 488 GTB, tandis que l’arrière arbore des feux ronds doubles rappelant des modèles iconiques comme la F40. Les lignes de la carrosserie, à la fois tendues et fluides, confèrent à la voiture un caractère agressif et élégant (qui est l'un de mes préférés).

Un hommage au V8 Ferrari

Conclusion

Ce projet reste pour moi un souvenir marquant pour moi et occupe une place toute particulière dans mon parcours artistique car il a été le tout premier modèle que j’ai réalisé. C'était à mes yeux un vrai défi, notamment en raison de sa couleur bleu étincelante à la fois vive et complexe à reproduire qui m'a demandé un soin tout particulier. Travailler sur cette voiture m’a permis de tester mes capacités tout en découvrant le plaisir de capturer la puissance et l’élégance d’un modèle aussi emblématique.

Conclusion